‘Orot’ : La Terre d’Israël – La Guerre – Le Grand Appel – en français avec le commentaire du Rav Aviner

Le livre ‘Orot’ – son titre traduit sa grandeur – diffuse des lumières en notre temps, qui est le temps de la transition entre l’obscurité et la lumière, l’époque de la résurrection.

Dans son introduction, notre maître le Rav Tsvi Yéhouda HaCohen Kook, zatsal, explique que le livre ‘Orot’ est ‘saint des saints’. En effet, le ‘saint’ s’oppose au ‘profane’, tandis que le ‘saint des saints’ contient le sacré et le profane ensemble. Tout le temps de notre existence en exil, nous nous sommes coupés du profane qui était pourri et corrompu, qu’avions-nous besoin de prospecter des terrains étrangers ? Mais maintenant, à l’heure où nous revenons sur notre terre, le profane nous oblige à élever son niveau ! Nous avons l’obligation d’édifier un État, de nous occuper d’économie, de fonder une armée, d’avoir une direction politique, de mettre en place des tribunaux et des structures entières qui appartiennent au monde du profane.

Le livre ‘Orot’ est ‘saint des saints’ parce qu’il traite de la renaissance de la nation d’Israël sur sa terre, un événement qui se déroule dans le domaine du profane, et qui nous révèle la résurrection du ‘saint’ enfouie dans la profondeur de la résurrection nationale. Le livre ‘Orot’ est une sorte de ‘Messilat Yécharim’ qui concerne la nation d’Israël dans son ensemble.

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Description

Le livre ‘Orot’ – son titre traduit sa grandeur – diffuse ses lumières en notre temps, qui est le temps de la transition entre l’obscurité et la lumière, l’époque de la résurrection.

Dans son introduction, notre maître le Rav Tsvi Yéhouda HaCohen Kook, zatsal, explique que le livre ‘Orot’ est ‘saint des saints’. En effet, le ‘saint’ s’oppose au ‘profane’, tandis que le ‘saint des saints’ contient le sacré et le profane ensemble. Tout le temps de notre existence en exil, nous nous sommes coupés du profane qui était pourri et corrompu, qu’avions-nous besoin de prospecter des terrains étrangers ? Mais maintenant, à l’heure où nous revenons sur notre terre, le profane nous oblige à élever son niveau ! Nous avons l’obligation d’édifier un État, de nous occuper d’économie, de fonder une armée, d’avoir une direction politique, de mettre en place des tribunaux et des structures entières qui appartiennent au monde du profane.

Le livre ‘Orot’ est ‘saint des saints’ parce qu’il traite de la renaissance de la nation d’Israël sur sa terre, un événement qui se déroule dans le domaine du profane, et qui nous révèle la résurrection du ‘saint’ enfouie dans la profondeur de la résurrection nationale. Le livre ‘Orot’ est une sorte de ‘Messilat Yécharim’ qui concerne la nation d’Israël dans son ensemble.

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